Stauffenberg veut lui-même perpétuer l'attentat le 15 juillet mais l'occasion lui échappe. Peu après, une nouvelle opportunité se présente...

À cause d'un changement de programme, Stauffenberg arrive à introduire qu'une seule des deux bombes dans la réunion et demande à être assis près du Führer.

Stauffenberg a réussi à placer la bombe dans la salle de réunion et à en sortir. Il essaye de quitter la zone de sécurité en voiture.

Une seule bombe explose et laisse une grande confusion derrière elle. Les informations ne circulent pas bien et la rumeur court qu'Hitler serait vivant.

Stauffenberg est convaincu qu'Hitler est mort. Cependant il a survécu. Ce n'est qu'après le retour de Stauffenberg que l'opération Valkyrie est déclenchée...

Les informations se croisent et la confusion règne au service des informations du Bendlerblock. Et la radio continue d'être diffusée, contrairement à ce qui était prévu.

Qui est dans quel camp ? Les problèmes de communication ralentissent la transmission des ordres et le désarmement de la Gestapo et des SS prend du retard.

De nombreux généraux doutent de la mort d'Hitler et ne savent pas quels ordres suivrent parmi toutes les missives contradictoires.

La tentative de retournement du pouvoir a échoué pendant qu'une grande confusion règne toujours parmi les divers dirigeants au sein du "Bendlerblock".

Tandis que l'opération Valkyrie progresse à Paris, les dirigeants en Allemagne sont condamnés à se rendre.

Stauffenberg, Olbricht, Mertz von Quirnheim et von Haeften sont condamnés à la peine de mort par la cour martiale et exécutés sur-le-champ.

Suite à l'annonce de la tentative d'assassinat de Hitler à la radio le 20 juillet 1944, pratiquement tous les conspirateurs sont condamnés à mort et exécutés sur-le-champ, et ce malgré qu'ils savaient qu'ils avaient bien agi.

Le drame documentaire "La classe – Berlin '61" raconte en compagnie d'acteurs et de personnages réels l'histoire d'une "classe de l'Est" à Berlin-Ouest. Les élèves de la classe 13e se rendent chaque jour de Berlin-Est à Berlin-Ouest pour passer le bac à l'école Kepler – jusqu'à ce que le mur soit érigé en été 1961.

Un demi-million d'individus allait tous les jours d'Est en Ouest et d'Ouest en Est. Parmi eux, il y avait aussi Rüdiger, Eva, Christian et Heidi. A l'Est, ils n'avaient pas le droit de passer le bac, c'est la raison pour laquelle ils se rendaient dans la "Classe de l'Est" de l'école Kepler dans le quartier Neukölln de Berlin.

La curiosité de la guerre froide, c'est le quotidien des élèves de l'école Kepler. Vous savez, c'est là où l'on achète en Deutsche Mark des chaussures chic au meilleur prix et où on peut faire de la contrebande vers Berlin-Est.